" Malgré sa renommée, Taillandier, la soixantaine, a brusquement cessé de peindre. En pleine déprime, il décide de partir de chez lui, sans but précis et sans donner d'explication à ses proches. Au cours de son périple, il fait l'étrange rencontre d’une adolescente égarée, Marylou, que sa mère a rejetée. La gamine perdue et l'homme au bout du rouleau feront un bout de chemin ensemble. Finalement, vivant tels un père et sa fille, dans la quiétude d'une maison de location, ils se feront « la courte échelle » et retrouveront un nouveau sens à leur vie. "
...et pourtant , certains soirs , que regarder à la télé ?
Heureusement , il y a ARTE
A l’origine d’ARTE, une vision.
Une vision liée aux noms de François Mitterrand, Helmut Kohl et Lothar Späth. Les pères fondateurs d’ARTE ont œuvré à la création d’une chaîne de télévision commune afin de permettre le rapprochement culturel entre Français et Allemands et d’encourager l’intégration culturelle européenne. La création d’une même chaîne pour deux publics était alors une première dans l’Histoire de la télévision et reste un phénomène unique dans le paysage audiovisuel mondial.
Jean-Dominique Bauby raconte comment, alors rédacteur en chef du magazine Elle, il est plongé le 8 décembre 1995 par un AVC massif dans un coma d'où il ressort 20 jours plus tard affecté du locked-in syndrome. Le seul moyen de mouvement et d'expression qui lui reste est sa paupière gauche ; lettre par lettre (un clignement pour sélectionner la lettre dans l'alphabet qu'on lui lit), il dicte pendant l'été 1996 son livre, qui paraît quelques jours avant sa mort le 9 mars 1997.
Sous le même titre, en 2007
Le Scaphandre et le Papillon (le film)
exprime à son tour, aussi fidèlement que possible, les effets matériels, affectifs et psychologiques du locked-in syndrome en général sur ses victimes et sur leur entourage ; dans cette mise à l'écran, le cas personnel de Jean-Dominique Bauby reçoit plusieurs changements substantiels, notamment l'addition d'un troisième enfant (Hortense) et une certaine altération des rôles respectifs, à l'hôpital, de la maîtresse et de la mère des enfants1.
Mathieu Amalric joue le rôle de Jean-Dominique Baudy
Né en 1982 à Shenyang, Lang Lang fête ses 30 ans. Et pour marquer ce chiffre rond, le pianiste a choisi d'offrir un concert aux quelque 10 000 spectateurs du O2 World de Berlin. Au programme, entre autres, le «Concerto n°1 pour piano» en si bémol mineur» de Tchaïkovski et la «Rhapsody in Blue» de Gershwin, adaptée pour deux pianos et interprétée avec Herbie Hancock. Lang Lang et la légende du jazz sont unis par une vieille amitié et un même amour de la musique. Autre temps fort : sur l'arrière-scène apparaissent cinquante jeunes pianistes du monde entier, âgés de 7 à 14 ans, assis à 25 pianos de concert. Enregistré au O2 World de Berlin Au programme : «Concerto n°1 pour piano» en si bémol mineur, de Tchaïkovski ; «Rhapsody in Blue», de Gershwin, adapté pour deux pianos. Réalisation de Hannes Rossacher.
( compte rendu sur internet )
Lang Lang et son meilleur ami , pianiste de Jazz
Les 50 meilleurs pianistes
( enfants de 7 à 14 ans )
autour de Lang Lang .
C'est lui même qui les a choisis pour jouer du Schubert...
Ali se retrouve avec Sam, 5 ans, sur les bras. C’est son fils, il le connaît à peine. Sans domicile, sans argent et sans amis, Ali trouve refuge chez sa sœur à Antibes. Là-bas, c’est tout de suite mieux, elle les héberge dans le garage de son pavillon, elle s’occupe du petit et il fait beau.
A la suite d’une bagarre dans une boîte de nuit, son destin croise celui de Stéphanie. Il la ramène chez elle et lui laisse son téléphone.
Il est pauvre ; elle est belle et pleine d’assurance. C’est une princesse. Tout les oppose.
Stéphanie est dresseuse d’orques au Marineland. Il faudra que le spectacle tourne au drame pour qu’un coup de téléphone dans la nuit les réunisse à nouveau.
Quand Ali la retrouve, la princesse est tassée dans un fauteuil roulant : elle a perdu ses jambes et pas mal d’illusions.
Il va l’aider simplement, sans compassion, sans pitié. Elle va revivre.