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de gauche à droite : le mari de sa mère , sa mère , le metteur en scène François Auzon elle même et son jeune frère ( au festival de Cannes ) Cette jeune fille de bonne famille (très bien jouée par Marine Vaech ) , aimée par ses parents , sans aucun besoin d'argent , sans amourette , sans plaisir , recrute ses clients plus âgés par internet jusqu'au jour où... Quatre saisons , et quatre chansons très sentimentales de Françoise Hardy qui tranchent carrément avec la froideur de ces rapports . Avouez que cette histoire fait réfléchir !
Cinéma , cinéma
25/08/2013 18:40
Cinq adolescents de Porto-Vecchio traînent. Un soir, l'un d'eux conduit les autres dans une belle villa inoccupée... Quelques objets sans valeur et deux fusils sont dérobés . Quand la propriétaire de la maison débarque de Paris, elle se plaint du cambriolage à un petit caïd local de sa connaissance… car je connaissais mal cette haine anti-arabes et anti-gaulois ( français de métropole ) qui existait en Corse . Cette critique m'annonçait un film dur , cruel , sec , qui intrigue et dérange . mais j'avoue que je ne croyais pas à ce point !
Le réalisateur ,Thierry de Peretti lui même corse de Porto-Vecchio , a voulu montrer "l'envers d' une belle carte postale de l' île !"
J'étais très mal à l'aise et j'ai de la peine à en parler .
Cinéma d'art et d'essai " The land of hope "
20/08/2013 13:19
Le sujet m'intéressait et je n'ai pas résisté . Film japonais et anglais sous titré comme il se doit , mais sans aucune gène pour le spectateur . synopsis lu sur Google Un tremblement de terre frappe le Japon, entraînant l'explosion d'une centrale nucléaire.
à suivre plus tard
Dès le début du film Fukushima est dans tous les esprits . Le sujet du film est très bien choisi c'est un débat sur l'énergie nucléaire . Malheureusement , pour moi , le réquisitoire est trop mou , trop doux , trop mélancolique . C'est presque du mélo !
Bien sûr nous sommes face à cette famille de japonais à ce vieux couple de paysans butés qui ne veut pas partir , à l'incompétence et le mutisme des autorités mais je m'attendais à plus de mordant , à plus de rébellion à plus d'émotion, à plus de révolte . Peut-être est-ce dans le caractère des japonais mais je n'arrivais pas à les comprendre ! Ces gens vivaient une tragédie et pourtant j'ai trouvé ce film ennuyeux , trop Zen ! Mais ce que j'ai trouvé encore plus pénible , ce sont les longueurs ! que de longueurs ! Ce film de 2 h 20 m'a été insupportable à tel point que par deux fois je suis sortie de la salle ...et suis revenue ! Le journal " la croix " signale que ce film souffre de quelques longueurs . Quelques longueurs ???....
Heureusement , les derniers instants sont poignants ( malgré les longueurs) et j'aurais regretté de partir avant la fin . Dommage avec un sujet pareil , ce film aurait pu être une réussite
( mais ce n'est que mon humble avis )
cinéma , cinéma "Singoalla "
18/08/2013 16:55
Comme un conte de fée... Il y a très très , très longtemps , avec mes parents , j'étais allée au cinéma " le Royal " à Alès pour voir jouer " Singoalla " Un chevalier rencontre, au cours d'une chasse, la belle gitane Singoalla. Il en tombe éperdument amoureux et décide d'abandonner son château pour la suivre. Un seul est resté dans ma mémoire celui-ci m'avait subjuguée , émerveillée !!!!.... Non , ne riez pas , à ce moment là , je devais avoir 13 ou 14 ans
je rêvais de prince charmant et un prince charmant joué par Michel Auclair ! un conte de fée
Michel Auclair , mon idole ! mais je n'arrive pas à trouver des photos de lui dans ce film , il était plus jeune et je crois qu'il portait la barbe .
Pour la petite fille que j'étais , c'était un rêve ! C'était un film de Christian - Jaque et je ne me rappelle absolument plus ni de cette adorable gitane ni des détails du film ! Un seul être m'intéressait , ce beau chevalier de conte de fée ! Je lisais Cinémonde , je collectionnais des photos ! Oui , je sais , j'étais une gamine mais il y a des souvenirs qui ne s'effacent pas . C'est un peu puéril mais j'aime bien me souvenir
Hommage à Béjart
15/08/2013 11:19
Dans les arènes de Nîmes , pendant trois soirs , l' école - atelier Rudra Béjart est venue nous présenter " La vie d'artiste " avec une chorégraphie de Valérie Lacaze qui reste tout à fait dans la continuité des ballets de Béjart .
Superbe , j'ai passé une soirée éblouissante avec le souvenir inaltérable de
Maurice Béjart à suivre plus tard
Le Boléro de Ravel
15/08/2013 14:24
et le sublimissime Boléro dansé aussi bien par un homme que par une femme . Merci Béjart
